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Propos de azouz Begag


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29/12/2009 à 11:22 - Propos de azouz Begag
Première partie de l'article Tintin :

Identité nationale: les leçons de français d'Azouz Begag
Christian Lecomte
Issu de l'immigration, l'ancien ministre de Jacques Chirac, devenu candidat centriste, apporte sa contribution critique au débat

Salle du chef-lieu à Pringy (près d'Annecy) en fin de semaine passée. Cent vingt personnes assistent à une réunion publique d'Azoug Begag. L'ancien ministre chargé de la Promotion de l'égalité des chances de 2005 à 2007 est aujourd'hui le candidat du MoDem (Mouvement Démocrate, centre) à la présidence de la région Rhône-Alpes pour les élections de mars 2010. Il bat «les campagnes et montagnes» avec visiblement beaucoup de plaisir. Les nombreux dérapages racistes qui polluent le débat sur l'identité nationale voulue par Nicolas Sarkozy tombent, il est vrai, presque à pic pour ce Lyonnais d'origine algérienne adepte de la «discrimination positive» et défenseur acharné des banlieues.

«Franchouillard xénophobe»

Lui-même a grandi dans un bidonville. Il a écrit en 1986 le très remarqué Gone du chaâba, un récit d'enfance dans les cités. Celui qui décrochera un doctorat en économie sur le thème «L'immigré et la ville» et deviendra sociologue va ensuite publier une vingtaine d'autres ouvrages dont en 2007 Un mouton dans la baignoire, titre qui reprend des propos de Nicolas Sarkozy fustigeant les pratiques de certains musulmans.

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Le chef d'Etat français est désormais la cible de toutes ses attaques. «Racaille, Kärcher, voilà des mots qui maltraitent la langue française, qui outragent son identité, lâche-t-il. Moi, j'ai pris goût à cette langue avec Brassens, Brel et Aznavour.» Il rend hommage à son père émigré en France en 1947, «analphabète et unité de main-d'oeuvre toute sa vie» qui lui martelait que son unique devoir était «d'être le meilleur des meilleurs à l'école». Il le fut tout en se posant la question du devenir «des 39 autres de la classe». Pour y répondre, Azouz Begag combinera des fonctions de chercheur au CNRS et d'enseignant. Puis de politicien.

C'est Dominique de Villepin, alors premier ministre de Jacques Chirac, qui le fait entrer au gouvernement en 2005. Mais entré en conflit ouvert avec Nicolas Sarkozy qui le surnomme «Vidéo Begag» et l'actuel ministre de l'intérieur Brice Hortefeux, «ce franchouillard xénophobe qui, pendant le Conseil des ministres, mimait le geste de m'égorger», Azouz Begag démissionne deux ans plus tard pour ne pas perdre son âme. «J'ai dit au revoir à mes 13 000 euros (19 500 francs) mensuels, à la voiture officielle, j'ai pris le train et je suis rentré à Lyon» raconte-t-il. «Etre Français, justifie-t-il, ce n'est pas flatter le FN (Front National, extrême droite), c'est dire non comme le fit le résistant Jean Moulin face au nazisme ou de Villepin lorsqu'il déclara en 2003 à la tribune de l'ONU qu'il ne fallait pas aller faire la guerre en Irak.»

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29/12/2009 à 11:25 - Propos de azouz Begag
Deuxième et dernière partie de l'article...

Monsieur l'émir»

Ce soir-là en Haute-Savoie, il ne sera en fait que peu question de son programme pour la région Rhône-Alpes. Le candidat centriste souhaite d'abord, le temps d'une campagne, s'ouvrir à tous les citoyens «comme je le fis dans ce labo à ciel ouvert que sont les banlieues». Il veut rencontrer ceux des alpages «qui ont voté à 23% pour le FN» et «les 80% de jeunes de moins de 25 ans qui ne sont pas allés voter aux dernières élections européennes». «Je veux aller parler directement avec ceux qui choisissent Le Pen à cause des Arabes qui volent les autoradios ou qui veulent construire des minarets à Zurich ou Lausanne», annonce-t-il.

La Suisse? Ironique, il montre son costume et réajuste sa cravate: «Lorsque je suis à Genève, les boutiquiers m'appellent Monsieur l'émir, je suis une source de profit, je n'ai pas de casquette à l'envers même si papa était prolo.» Et conclut: «Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.»

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Hangzhou
29/12/2009 à 14:53 - Propos de azouz Begag
Je m'inquietais en lisant vos post depuis qqs heures.
apres avoir lu l'article, je trouve que le type a de l'humour finalement.

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29/12/2009 à 16:03 - Propos de azouz Begag
Sur ce qu'a dit Georges Frêche, il l'a crié en colère contre un harkis, me semble-t-il ?
Or, les problèmes des suppléants de l'armée française pendant la guerre d'Algérie, pendant la guerre d'Indochine et les pensions des Tirailleurs Sénégalais de la 2e guerre mondiale , etc.. sont des sujets très sensibles en France. Ainsi, les médias ont critiqué les propos de Georges Frêche.

Sur ce qu'a dit Brice Hortefeux, il l'a dit sous forme de plaisanterie déplacée, on attend souvent ce genre de blague déplacée dans la société. Mais, les médias ont insisté seulement sur le fait qu'il est filmé en son insu par un portable.

Sur ce qu'a dit Azouz Begag, il l'a dit pendant sa campagne électorale, donc ce sont des propos réflécis, des discours préparés, pour convaincre les électeurs.

D'autre part, Azouz Begag a critiqué les propos de Brice Hortefeux dans Libération, il a même utilisé l'expression suivante : " Et le racisme est un délit ", sous en attendu que, pour lui, le propos de Brice Hortefeux est un propos raciste. Azouz Begag a qualifié le propos de Brice Hortefeux de : " Un vrai bon dérapage franchouillard raciste ".

http://www.libelyon.fr/info/2009/09/azouz-begag-%C3%A0-propos-de-brice-hortefeux-cest-un-vrai-bon-d%C3%A9rapage-franchouillard-raciste.html

Pourtant, les 2 propos sont semblables. En effet :
Pour Brice Hortefeux, le problème c'est beaucoup d'arabes. Il a dit :" ... C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes."
Pour Azouz Begag, le problème c'est beaucoup de chinois. Il a dit :" ... on sera entouré de Chinois ... ". Pour que vous soyez entouré de chinois, c'est qu'il y a beaucoup de chinois.

Pour certain, c'est de l'humour. Comme Le Pen , quand il a parlé de "détail", il a dit aussi c'est de l'humour.

Dernière édition : 31/12/2009 11h06

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29/12/2009 à 17:44 - Propos de azouz Begag
«Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.»

Je ne pense pas que ces propos relèvent de l'humour,ils sont prononcés par un homme politique "parachuté" tête de liste du Modem en région Rhône Alpes.Ce sont des propos publics ...Dans le contexte actuel où le débat sur l'identité nationale prend des tournures xénophobes, Mr Begag aurait dû réfléchir avant de dire de telles inepties.Si l'on analyse la phrase,son souhait est que tous ceux qui vivent aujourd'hui en France s'unissent pour repousser une éventuelle invasion Chinoise ??? Mais qui sont ces Arabes et ces Africains dont il parle ??? Pas Français en tout cas, puisqu'il les cite à part...En ce cas pourquoi ne pas inviter aussi les Américains et les autres Européens ...Qui sont ces Chinois qui lui font peur ??? Les Asiatiques de la place Raspail ??? Mr Begag est peut être spécialiste de l'immigration et des banlieues, mais quelques cours de géographie lui éviteraient cet amalgame ...Son but final, à mon sens, est de faire peur , en montrant du doigt un "ennemi" possible, encore plus dangereux que ceux qui sont désignés comme pouvant porter atteinte à l'identité Française.Mr Begag a certainement souffert de xénophobie lorsqu'il vivait dans les bidonvilles de Villeurbanne ...Les honneurs lui ont fait oublier que le racisme commence ainsi...Rejeter ce qui n'est pas semblable...Désolée, Mr Begag, la devise Française comporte les mots égalité et fraternité...Depuis votre naturalisation en 1989, vous avez eu le temps de l'apprendre ...
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30/12/2009 à 09:59 - Propos de azouz Begag
Au nom de la Diversité Française, Azouz Begag, homme politique, doit méditer sur :

- La devise de la République Française :
"Liberté, Egalité, Fraternité."

- L'article 1 de la constitution de 1958 :
" La France est une Republique indivisible, laique, democratique et sociale. Elle assure l'egalite devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d'origine, de race et de religion. "

- A cette citation de pasteur Martin Luther King :
"Apprenons à vivre ensemble comme des frères,
sinon nous mourrons ensembres comme des idiots."

Dernière édition : 31/12/2009 14h43

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31/12/2009 à 11:49 - Reponse d'Azouz Begag
Bonjour,

A la demande d'Azouz Begag je publie ci dessous un message de sa part qui clarifie son propos. Un message dans le même sens est adressé ce jour à l'Ambassade de Chine en France afin de rassurer ceux qui aurait légitimement pu se sentir blessés par des propos qui aboutissent à un contre sens une fois sortis de leur contexte.

Cordialement,

Antoine Vielliard




A tous ceux qui se sont sentis choqués par les propos qui me sont attribués dans le Journal Le Temps, je tiens à dire avec la plus grande fermeté qu'en aucune manière ils rendent compte de ma pensée quant à la Chine, le peuple Chinois et l'identité française. Ce je peux lire ici et là me fait mal, car mon propos avait la simple intention d'être ironique - ce que le journaliste n'a pas écrit - et qu'il visait à montrer que l'identité nationale française est une notion qui évolue avec les nouvelles populations qui arrivent dans un pays, dont les ressortissants Chinois, qui l'enrichissent, bien évidemment, comme mes parents l'ont fait il y a cinquante ans.

Je suis surpris de voir que le journaliste qui a réalisé cette interview a mis en exergue une phrase totalement sortie de son contexte et qui traduit le contraire de ma pensée. Je rappelle que lors de mes deux années passées au ministère de l'égalité des chances, j'ai lancé un programme d'apprentissage du chinois dans les collèges de banlieue pour contribuer à ouvrir la France à ce puissant pays. L'ambassadeur de Chine nous a fait l'honneur de participer au lancement de ce programme en 2006. Tout ma vie, j'ai combattu le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie. Ce n'est pas à 52 ans que je vais changer de cap. De nouveau, je demande à tous ceux qui ont mal interprété les mots qui m'ont été attribués de croire à l'estime profonde et l'amitié que je porte au peuple Chinois.

Azouz Begag, ancien ministre.
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31/12/2009 à 12:02 - Propos de azouz Begag
Il conviendrait que ce texte soit un peu plus public soit AFP soit autre et non en catimini.
Notons qu'encore une fois les journalistes (et les autres) ne comprennent rien à l'humour !
Humour à la Hortefeux !
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31/12/2009 à 12:24 - Propos de azouz Begag
Identité nationale: les leçons de français d'Azouz Begag
Christian Lecomte

Issu de l'immigration, l'ancien ministre de Jacques Chirac, devenu candidat centriste, apporte sa contribution critique au débat

Salle du chef-lieu à Pringy (près d'Annecy) en fin de semaine passée. Cent vingt personnes assistent à une réunion publique d'Azoug Begag. L'ancien ministre chargé de la Promotion de l'égalité des chances de 2005 à 2007 est aujourd'hui le candidat du MoDem (Mouvement Démocrate, centre) à la présidence de la région Rhône-Alpes pour les élections de mars 2010. Il bat «les campagnes et montagnes» avec visiblement beaucoup de plaisir. Les nombreux dérapages racistes qui polluent le débat sur l'identité nationale voulue par Nicolas Sarkozy tombent, il est vrai, presque à pic pour ce Lyonnais d'origine algérienne adepte de la «discrimination positive» et défenseur acharné des banlieues.

«Franchouillard xénophobe»

Lui-même a grandi dans un bidonville. Il a écrit en 1986 le très remarqué Gone du chaâba, un récit d'enfance dans les cités. Celui qui décrochera un doctorat en économie sur le thème «L'immigré et la ville» et deviendra sociologue va ensuite publier une vingtaine d'autres ouvrages dont en 2007 Un mouton dans la baignoire, titre qui reprend des propos de Nicolas Sarkozy fustigeant les pratiques de certains musulmans.
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Le chef d'Etat français est désormais la cible de toutes ses attaques. «Racaille, Kärcher, voilà des mots qui maltraitent la langue française, qui outragent son identité, lâche-t-il. Moi, j'ai pris goût à cette langue avec Brassens, Brel et Aznavour.» Il rend hommage à son père émigré en France en 1947, «analphabète et unité de main-d'oeuvre toute sa vie» qui lui martelait que son unique devoir était «d'être le meilleur des meilleurs à l'école». Il le fut tout en se posant la question du devenir «des 39 autres de la classe». Pour y répondre, Azouz Begag combinera des fonctions de chercheur au CNRS et d'enseignant. Puis de politicien.

C'est Dominique de Villepin, alors premier ministre de Jacques Chirac, qui le fait entrer au gouvernement en 2005. Mais entré en conflit ouvert avec Nicolas Sarkozy qui le surnomme «Vidéo Begag» et l'actuel ministre de l'intérieur Brice Hortefeux, «ce franchouillard xénophobe qui, pendant le Conseil des ministres, mimait le geste de m'égorger», Azouz Begag démissionne deux ans plus tard pour ne pas perdre son âme. «J'ai dit au revoir à mes 13 000 euros (19 500 francs) mensuels, à la voiture officielle, j'ai pris le train et je suis rentré à Lyon» raconte-t-il. «Etre Français, justifie-t-il, ce n'est pas flatter le FN (Front National, extrême droite), c'est dire non comme le fit le résistant Jean Moulin face au nazisme ou de Villepin lorsqu'il déclara en 2003 à la tribune de l'ONU qu'il ne fallait pas aller faire la guerre en Irak.»


«Monsieur l'émir»

Ce soir-là en Haute-Savoie, il ne sera en fait que peu question de son programme pour la région Rhône-Alpes. Le candidat centriste souhaite d'abord, le temps d'une campagne, s'ouvrir à tous les citoyens «comme je le fis dans ce labo à ciel ouvert que sont les banlieues». Il veut rencontrer ceux des alpages «qui ont voté à 23% pour le FN» et «les 80% de jeunes de moins de 25 ans qui ne sont pas allés voter aux dernières élections européennes». «Je veux aller parler directement avec ceux qui choisissent Le Pen à cause des Arabes qui volent les autoradios ou qui veulent construire des minarets à Zurich ou Lausanne», annonce-t-il.

La Suisse? Ironique, il montre son costume et réajuste sa cravate: «Lorsque je suis à Genève, les boutiquiers m'appellent Monsieur l'émir, je suis une source de profit, je n'ai pas de casquette à l'envers même si papa était prolo.» Et conclut: «Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.»

[i] [b]Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.[/i]
>
[/b]
> L'ancien ministre Azouz Begag a-t-il fait preuve d'ironie, dans son interview au journal suisse "Le Temps", en prononçant cette phrase remplie de haine et de xénophobie à l'égard des ressortissants de la Chine et peut-être de tous ceux qui n'appartiennent pas à l'internationale "black, blanc, beur"; qui sont préoccupés par autre chose que par l'invective contre les citoyens exogènes. Y a-t-il de l'ironie dans cette déclaration imbécile? L'ironie suppose une distanciation critique et au moins la possibilité d'une double lecture. Il est difficile de voir une telle distanciation critique. Dans une très hypothétique invasion de Chinois et surtout, des races asiatiques (dont les anciens Indochinois de l'Indochine française, mobilisés comme leurs camarades africains dans les deux guerres mondiales, pour sauver la mère-patrie), l'ancien ministre fait appel de nouveau à une cohésion raciale qui a semblé avoir si bien réussi lors de la coupe du monde de football de 1998 (une équipe black, blanc, beur, qui reflète les fantasmes d'une Europe allant du pôle nord à l'extrême pointe de l'Afrique du sud et qui, surtout, ne devrait pas dépasser l'Arabie Saoudite) pour stigmatiser l'ensemble des citoyens d'origine asiatique et appeler à la haine de l'autre en invoquant un classement anthropologique débouchant sur un rêve d'unité ethno-culturelle qui serait le rêve d'une hypothétique civilisation islamo-chrétienne, s'étendant de la Finlande à l'Afrique du Sud.
> Nous demandons des excuses publiques de la part d'Azouz Begag sous peine d'être traduit devant la justice pour incitation à la haine raciale car nous estimons inexcusable qu'un ancien ministre de la République puisse se mettre ainsi en parfaite contradiction avec le préambule de notre Constitution (égalité de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion) et sollicite les suffrages de nos concitoyens rhônalpins. Nous demandons également à la direction nationale du MODEM de condamner fermement ces propos et de suspendre sa candidature aux prochaines élections régionales.
>
> Léon Nguyen
> Président de l'ADRI (association de défense des rapatriés d'Indochine)
>
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31/12/2009 à 12:38 - Propos de azouz Begag
Merci beaucoup Monsieur Vielliard d'être intervenu. Merci à Monsieur Azouz Begag pour ses précisions. Qu'un jour il vienne nous rendre visite sur Chine Info comme vous même l'avez fait.
Cordialement.
La Chine 中国 (Zhongguó), pays de l'Asie orientale, est le sujet principal abordé sur CHINE INFORMATIONS (autrement appelé "CHINE INFOS") ; ce guide en ligne est mis à jour pour et par des passionnés depuis 2001. Cependant, les autres pays d'Asie du sud-est ne sont pas oubliés avec en outre le Japon, la Corée, l'Inde, le Vietnam, la Mongolie, la Malaisie, ou la Thailande.