À l’occasion de la visite de Xi Jinping en France lundi 6 et mardi 7 mai, Paris espère infléchir la position de neutralité affichée par la Chine dans la guerre en Ukraine.
Depuis le début de cette crise, Paris a appelé à de multiples reprises Pékin à jouer de son influence auprès de Moscou.
En vain.
Certaines voix, tel le candidat socialiste aux européennes Raphaël Glucksmann, reprochent à l’exécutif une forme de naïveté par rapport à la Chine.
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