L'ICR offre une approche synergique de connexion, d'habilitation et de coordination au développement (rapport)
L'initiative "la Ceinture et la Route" (ICR) propose une approche synergique de connexion, d'habilitation et de coordination (CHC) du développement qui valorise l'importance des infrastructures, du développement industriel et du rôle du gouvernement, indique un rapport sur les études du développement de "la Ceinture et la Route" publié mercredi.
Le rapport, intitulé "Etudes du développement de 'la Ceinture et la Route' -- une approche synergique pour le développement mondial", a été publié par l'Institut Xinhua lors d'un forum thématique sur les échanges entre groupes de réflexion dans le cadre du troisième Forum de "la Ceinture et la Route" pour la coopération internationale.
L'ICR a donné naissance à un genre de science du développement plus inclusif et plus efficace, les études sur le développement de "la Ceinture et la Route", indique le rapport.
La "connexion" dans l'approche de la CHC représente l'importance de la connectivité, et en particulier des infrastructures, qui favorise la libre circulation des éléments économiques dans le monde entier et aide davantage de pays à accéder au marché mondial.
"L'habilitation" aide les pays en développement à remodeler leurs structures de dotation en facteurs et leurs avantages comparatifs, à mieux participer à la division internationale du travail, et à optimiser et remodeler la production mondiale ainsi que les chaînes de valeur.
La "coordination" signifie une meilleure coopération intergouvernementale, et une synergie des règles et des normes nationales.
Cette approche apporte des réponses aux critiques des politiques économiques néolibérales et s'attaque aux deux principaux problèmes du développement mondial, à savoir l'absence de forces motrices solides et le développement inégal.
Pour garantir le fonctionnement efficace de l'approche, des efforts sont nécessaires pour redéfinir les rôles des quatre principaux facteurs de développement : le gouvernement, le capital, la société et l'environnement écologique, le gouvernement étant le coordinateur actif de l'allocation des ressources, le capital étant la partie prenante du développement à long terme, les membres de la société étant la nouvelle force de modernisation, et l'environnement écologique étant le nouveau potentiel pour un développement de haute qualité.